mardi 16 novembre 2021

Webinaire Ostéopathie : quels bienfaits dans le cadre de l’infertilité ?

Webinaire organisé par l’association « Les Cigognes de l’Espoir » https://www.lescigognesdelespoir.com et « La Clinique du CSO » dans le cadre de leur partenariat avec le Conservatoire Supérieur d’Ostéopathie , une école d’ostéopathie réputée à laquelle est adossée une clinique. L

e partenariat conclu entre « Les Cigognes de l’espoir » et la clinique du CSO permet aux membres des cigognes de bénéficier de séance d’ostéopathie pour 5 euros seulement ! Nos invités sont aujourd’hui deux étudiants en dernière année d’Ostéopathie du CSO qui s’intéresse de près à cette problématique : Diane Catte et Alexis Lebrun . Ils sont les référents de l’association dans la cadre de ce partenariat.

Ils vous expliqueront comment l’ostéopathie peut aider dans le cadre de l’infertilité ou d’un parcours de PMA et répondrons à vos questions.

Parmi les sujets traités pendant ce webinaire : -Pour les personnes qui ne connaissent pas du tout : qu’est-ce que l’Ostéopathie ? comment cela fonctionne -elle ? -Dans quelle mesure l'ostéopathie peut avoir un impact sur l'infertilité ? -Quels sont les systèmes impliqués dans le champ d'action de l'ostéopathie sur l'infertilité ? -Quelles sont les techniques déployées ? Quelles sont les zones manipulées ? -Est-il important de recevoir et de traiter à la fois l'homme et la femme (le couple) ? -L'ostéopathie a-t-elle un rôle à jouer dans la prise en charge émotionnelle/l'accompagnement d’une patiente souffrant d’infertilité ou du couple durant une PMA ? -L’ostéopathie est-elle efficace contre l’endométriose et le SOPK ? -Quelles sont les limites de l'ostéopathie dans la prise en charge d'un patient atteint d'infertilité ? -Des séances d’ostéopathie sont-elles conseillées pendant la grossesse ou avant l'accouchement ?

Diane et Alexis présenteront également les détails du partenariat avec l’association et répondront à vos questions. en savoir plus https://www.lescigognesdelespoir.com/s%C3%A9ances-d_ost%C3%A9opathie-%C3%A0-5-euros-en-partenariat-avec-la-clinique-ost%C3%A9opathique-du-cso,120.html


mercredi 3 novembre 2021

Groupes de paroles "Infertilité-PMA-don d'ovocytes" en visioconférences


Après quelques mois d'interruption , les groupes de paroles en visio-conférences "Infertilité-PMA-don d'ovocytes" de l'association https://www.lescigognesdelespoir.com reprennent ! Ces groupes de paroles sont ouverts à tous et accessibles de toutes la France, des DOM-TOM et même de l'étranger .Ils reprennent à partir du 8 Novembre 2021 . Il seront animés par ANA , maman de jumeaux nés d'un don d'ovocytes avec une périodicité de deux groupes par mois pour commencer .

mardi 28 septembre 2021

Don d'ovocytes : les secrets d’un embryologiste avec la clinique de Pardubice

 Que ce soit dans le cadre d’une #FIV ou d’un don d’#ovocytes, une des personnes « clé » dans ces traitements de #PMA et pourtant invisible car caché au fonds de son laboratoire est l’embryologiste.

C’est de son travail minutieux que dépend la fécondation, la culture et le choix d’#embryons viables qui seront implantés dans l’utérus de la patiente.

Son rôle est fondamental et pourtant méconnu ! La clinique de fertilité de Pardubice https://www.fiv-donsdovocytes.com/  a accepté dans ce webinaire programmé par l’association https://www.lescigognesdelespoir.com de vous révéler les secrets de l’embryologiste de la clinique : la préparation des #gamètes , la fécondation et ses différentes méthodes, la culture des embryons et la surveillance par système de time-lapse, le choix des embryons à implanter etc. 

Participent à ce webinaire animé par Philippe Roussel , le Vice-Président de l’association :

-Le Dr Radek Hampl , #embryologiste 

-Le Dr. Jiří Štěpán #gynécologue, spécialiste de la PMA

-Radka Bandžuchová coordinatrice francophone

A l’issue de la présentation, nos invités répondront à toutes vos questions en direct !

Pour en savoir plus sur la clinique de Pardubice https://www.fiv-donsdovocytes.com/

La page Facebook https://www.facebook.com/SanusPardubice . N'hesitez pas a vous abonner




jeudi 2 septembre 2021

Toutes les femmes qui congèlent leurs ovocytes ne veulent pas forcément d’enfant

 

Toutes les femmes qui congèlent leurs ovocytes ne veulent pas forcément d’enfant

Yolinliztli Pérez-Hernández, Institut National d'Études Démographiques (INED)

Après trois ans de débat, l’autoconservation ovocytaire hors raisons médicales vient d’être autorisée en France, dans le cadre de la loi bioéthique votée par l’Assemblée nationale le 29 juin. Ce texte contient d’autres mesures bouleversant le rapport à la grossesse et à la filiation, comme l’autorisation de la procréation médicalement assistée (PMA) pour les femmes seules et en couple lesbien.

Cette mesure fait suite à un débat ouvert en 2018 en France avec les états généraux de la bioéthique, sur la possible autorisation de l’autoconservation ovocytaire dite sociale ou « de précaution ». Aussi nommée « congélation d’ovocyte à visée autologue », cette pratique consiste à prélever ses ovocytes, c’est-à-dire les cellules reproductives femelles, puis à les congeler pour son propre usage, sans motif médical.

Jusqu’ici, la cryopréservation (conservation par le froid) des ovocytes était autorisée et remboursée à 100 % dans deux cas : en cas de maladie (par exemple, en cas de cancer ou d’endométriose) et en cas de don d’ovocyte (à condition d’avoir moins de 37 ans et ne pas avoir eu d’enfant). Les femmes qui ne répondent pas à une de ces deux conditions devaient se rendre à l’étranger pour congeler leurs gamètes. L’Espagne et la Belgique sont les principales destinations des femmes françaises. Cette situation pourra être amenée à évoluer à la suite de l’adoption de la loi bioéthique.

Publiées majoritairement dans le contexte anglo-saxon, les rares études qualitatives suggèrent que les femmes qui congèlent des ovocytes ont un « fort » désir d’enfant. Pourtant, en termes statistiques, moins de 10 % des femmes se servent par la suite de leurs ovocytes congelés. De même, comme le montrent certaines études, les femmes qui ont des enfants après autoconservation ovocytaire ne le font pas toujours à l’aide de leurs ovocytes congelés. Une question s’impose : et si l’objectif de ces femmes n’était pas d’avoir des enfants avec leurs gamètes congelés ?

Ma recherche doctorale en anthropologie sociale et ethnologie, conduite auprès de 43 femmes ayant autoconservé des ovocytes en France et à l’étranger, s’est penchée sur cette question. Bien qu’une majorité de ces femmes expriment leur désir d’enfant, un peu plus d’un tiers (16) ont affirmé leur incertitude de vouloir devenir mère. Cinq ont même fait le choix de ne pas avoir d’enfants, toutes raisons confondues. Sans être représentatives de la population totale de femmes qui autoconservent des ovocytes, ces données ouvrent la voie pour penser depuis une nouvelle perspective cette technique de procréation médicalement assistée (PMA) qui, paradoxalement, n’aurait pas forcément pour objectif la procréation.

Une révolution technologique et sociale : la « vitrification ovocytaire »

Dès le développement de la technique de congélation d’ovocyte vers la fin du XXᵉ siècle et notamment autour de 2013, quand la technique de la « vitrification ovocytaire » (congélation ultrarapide d’ovocytes) est mise au point, de plus en plus de femmes font autoconserver leurs gamètes. La pratique reste cependant minoritaire. Selon une étude récente, aux États-Unis, autour de 20 000 femmes ont congelé leurs ovocytes dès la mise sur le marché de la technique début 2000. En Angleterre, l’autoconservation d’ovocytes a augmenté de 240 % dans les années récentes ; elle est passée de 569 « cycles » (stimulation hormonale, ponction et congélation de gamètes) en 2013 à 1 933 en 2018. En France, selon mes estimations, autour de 2 500 femmes congèlent ses ovocytes chaque année, toutes raisons confondues.

L’autoconservation ovocytaire a gagné en popularité internationale quand, en 2014, Apple et Facebook ont annoncé la prise en charge de la congélation d’ovocytes pour les employées qui le désiraient. L’objectif, selon The Guardian, était de permettre aux femmes de concilier maternité et vie professionnelle. L’annonce a été plutôt bien reçue dans la société étatsunienne où, sans Sécurité sociale, les femmes doivent débourser entre 6 000 et 15 000 dollars – soit entre 5 000 et 12 000 euros – pour une tentative de congélation d’ovocytes. Dans des pays comme l’Espagne, le coût est d’entre 3 000 et 4 000 euros.

La presse véhicule fréquemment une image « carriéristes » des femmes qui congèlent leurs ovocytes pour raisons dites sociales. Néanmoins, les recherches qualitatives publiées jusqu’à ce jour s’accordent à dire que l’absence de compagnon (et non l’éducation ou la carrière) est leur principale motivation. Majoritairement célibataires, elles souhaitent se « donner du temps » pour trouver un compagnon stable avec qui avoir des enfants. Elles rêvent de procréer dans le cadre d’un couple hétérosexuel stable, avec un homme dont elles soient amoureuses et qui sera le père de leurs enfants. Les ovocytes congelés représentent l’espoir d’accomplir ce projet.

Étonnamment, que cela soit pour des raisons dites sociales, dans le cadre d’une maladie ou d’un don d’ovocyte, les femmes qui autoconservent des gamètes ne sont pas toutes certaines de vouloir enfanter. En couple ou célibataires, elles sont plusieurs à congeler des ovocytes pour continuer à se questionner sur leur « vrai » désir d’enfant, sans pour autant perdre la possibilité de devenir mère. D’autres, certaines de ne pas vouloir devenir mères, craignent de regretter leur décision et la congélation de leurs gamètes leur permet de réaffirmer leur décision.

« Est-ce que je souhaite « vraiment » avoir des enfants ? »

Au cours des entretiens que j’ai pu réaliser, plusieurs femmes ont expliqué avoir décidé d’autoconserver des ovocytes sans pour autant être sûres de leur désir d’enfant. Dans leurs témoignages, souvent, elles se placent explicitement à la frontière entre vouloir et ne pas vouloir devenir mère. Ilka (prénom fictif), 39 ans, célibataire ayant fait conserver ses ovocytes à l’étranger, dit ainsi :

« J’ai fait cette démarche pour me confronter à la question de si je veux vraiment des enfants ou de si j’en veux à tout prix. Alors, je ne me situe ni dans la catégorie “J’en veux pas du tout”, ni dans la catégorie “J’en veux à tout prix”. »

C’est aussi le cas de Rosalinda, célibataire de 34 ans, qui a mené une double démarche, un don d’ovocyte et une autoconservation ovocytaire dans le cadre d’une prise en charge médicale pour insuffisance ovarienne précoce :

« Je ne sais pas si je veux un enfant. À chaque fois on me pose la question : “Vous ne voulez pas d’enfant en ce moment. Et plus tard ?” Je n’en veux pas, point. Peut-être plus tard, je n’en sais rien. »

Pour les femmes « incertaines » de vouloir enfanter, célibataires dans leur majorité, la congélation ovocytaire permet de se confronter à la question de leur « vrai » désir d’enfant, sans pour autant perdre totalement la possibilité de concevoir. Confrontées à une potentielle infertilité associée à l’âge, à une prise en charge médicale ou à une maladie, elles craignent ne plus avoir la possibilité d’enfanter, si elles en avaient le désir. Placées à la frontière entre « ne pas vouloir d’enfant » et « en vouloir à tout prix », la congélation d’ovocyte leur offre une sorte de « prolongement de l’incertitude » en attendant que l’une ou l’autre option devienne une évidence.

Congeler des ovocytes pour assumer le lourd choix de la non-maternité

Au contraire de ce que l’on pourrait penser, un petit nombre parmi les femmes qui congèlent des ovocytes ont fait le choix d’une vie sans enfant. Aujourd’hui, en France, près de 6,3 % des hommes et 4,3 % des femmes déclarent ne pas avoir d’enfant et ne pas en vouloir. Dans mon échantillon, cinq des quarante-trois femmes ont fait ce choix. Pour elles, l’autoconservation ovocytaire s’entremêle à la construction permanente de leur décision de ne pas enfanter. En effet, le choix de la non-maternité n’est pas une décision prise à un moment donné et qui se maintient immuable au long du temps. Il est le résultat d’un parcours cumulatif et progressif, en interaction avec le parcours professionnel, conjugal et biographique.

Le choix de la non-maternité constitue pour la majeure partie des femmes une décision difficile à porter, tant du point de vue social que personnel. Elles font fréquemment l’objet de questionnements sur leur « projet d’enfant » (ce qui laisse sous-entendre qu’elles souhaitent en avoir). Elles s’auto-questionnent également sur leur condition de femme sans enfant. Elles craignent surtout la possibilité de regretter dans le futur cette décision. Dans ce contexte, l’autoconservation ovocytaire apparaît comme une bonne option pour « prévoir » de possibles regrets. Si elles devaient un jour avoir un désir d’enfant, elles auront prévu cette alternative. Rita, 35 ans, en couple et ayant effectué une conservation ovocytaire dans le cadre d’un don, l’explique de cette manière :

« Je n’ai pas envie d’avoir un enfant. J’ai 35 ans. Je n’en ai pas envie. Je n’en ai jamais eu envie, mais je sais qu’on peut changer. Je me dis que si un jour je change d’avis, j’aurai prévu cette option. »

Le récit de Tania rejoint celui de Rita. Célibataire de 32 ans, elle a fait congeler ses ovocytes suite à un diagnostic de cancer de sein :

« J’ai évolué dans mon rapport au monde et je suis devenue de plus en plus ferme et radicale sur ce que je veux. Non seulement je ne veux pas d’enfant, je n’ai pas spécialement envie d’être en couple non plus. »

Une alternative médicale à l’incertitude

Même s’il s’agit d’un groupe minoritaire de femmes au sein de celles ayant recours à l’autoconservation ovocytaire, la valeur testimoniale de cette découverte est majeure. Ces femmes s’engagent dans un parcours médical lourd et coûteux, non seulement économiquement pour celles qui se sont rendues à l’étranger, mais aussi physiquement, psychologiquement et émotionnellement, dans un but qui n’est pourtant pas forcément procréatif. Bien que multiples, leurs trajectoires dessinent un point commun : le fait que la médecine peut offrir une alternative à l’incertitude autour du fait d’avoir ou ne pas avoir d’enfant. Avoir des ovocytes congelés place ces femmes non dans le groupe des « sans enfant », mais dans celui des « pas encore mères ».

L’autoconservation ovocytaire semble laisser aux femmes « toutes les portes ouvertes », d’un point de vue temporel. Elle vise à donner aux femmes des chances de devenir mères dans le futur. Étonnamment, elle permet aussi aux femmes y ayant recours de faire le choix, temporaire ou définitif, de ne pas avoir d’enfant. Pour citer le sociologue étatsunien Nik Brown, l’on pourrait dire que la congélation d’ovocyte suppose une « articulation temporelle complexe entre le présent et le futur, entre les connaissances fiables et les inconnues peu fiables, entre les preuves avérées et les théories non prouvées, la clarté et le doute, l’immanence et le report, l’immédiateté et l’ajournement ». Autrement dit, pour les femmes, la congélation de gamètes offre une réponse médicale (temporaire) à l’incertitude associée à la (non) maternité.


L’autrice effectue sa thèse sous la direction de Virginie Rozée Gomez.The Conversation

Yolinliztli Pérez-Hernández, Docteure en Anthropologie sociale et ethnologie, Institut National d'Études Démographiques (INED)

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

lundi 30 août 2021

Qui se soucie des personnes qui ne peuvent pas avoir d’enfants ?

Désir d’Enfant, événement d’information et d’éducation sur la fertilité et la parentalité, dont la seconde édition se tiendra les samedi 4 et dimanche 5 septembre 2021 à l’Espace Champerret à Paris. 

Désir d’Enfant s’adresse à tous ceux qui souhaitent fonder ou agrandir leur famille. L’objectif de l’événement est de leur apporter des informations fiables sur la parentalité et la fertilité, du soutien et des conseils. 

Le programme de ces 2 journées s’articule autour d’une soixantaine de conférences animées par des spécialistes mondiaux de la fertilité, des médecins, des professionnels de la santé et des cliniques. Les visiteurs pourront échanger personnellement avec ces experts et découvrir les différentes options de traitements disponibles dans le monde. Une large gamme de solutions naturelles sera également exposée, tout cela dans un même lieu, dans un environnement sécurisé et discret. 

Nos conférenciers et spécialistes expliqueront les différentes approches pour augmenter la fertilité. Ils exploreront aussi des thèmes tels que le syndrome des ovaires polykystiques, l’endométriose, la fertilité masculine, les toutes dernières techniques de FIV, la nutrition, les thérapies complémentaires et naturelles, l’adoption ou encore les questions juridiques concernant les alternatives pour devenir parent.

Dans une démarche holistique, Désir d’enfant propose aux futurs parents de découvrir un panel de médecines alternatives au sein de son espace Bien-Être. Désormais en vogue, les médecines naturelles sont réputées pour participer au bien-être physique et psychique des patients, face à des parcours PMA souvent lourds et stressants. Cet espace bien-être a été créé en partenariat avec Barcelona IVF et Proxeed.

Des associations de soutien seront également présentes pour expliquer comment faire face à la douleur, à l’inquiétude et à la solitude liées aux problèmes de fertilité.

Désir d’Enfant est événement unique en France. En Septembre 2020, il a accueilli un peu plus de 700 visiteurs pour sa première édition. Depuis 5 ans, il est organisé avec beaucoup de succès en Allemagne, sous le nom de Kinderwunsch Tage. Il a été récompensé par les AEO Awards en 2019.  

Désir d’Enfant est organisé par F2F Events, société britannique spécialisée dans l’organisation de salons grand public en Europe, sur la santé, l’alimentation et le bien-être. 

 Évènement gratuit sur inscription à https://desirdenfant.exhibtickets.com/?source=cigognes

lundi 2 août 2021

Ce court métrage autour des problèmes de fertilité a besoin de votre aide !

 

« Précieuse » est un projet de court métrage de Guillaume Bourg, produit par Arts Films, autour des problèmes de fertilité et du recours à la PMA.

Inspiré de l’expérience personnelle de son auteur, il lui a fallu quelques années et le recul nécessaire pour parler de son histoire et trouver l’universalité du propos. C’est un film existentiel, intime et brûlant d’actualité.


Voici un court synopsis :

Depuis cinq ans, Elise et Alex, un couple trentenaire, essaient de faire un enfant, en vain. Le sujet devenant délicat et conflictuel, ils décident de prendre contact avec le centre d’assistance médicale à la procréation de leur ville. Le premier rendez-vous avec le médecin les déstabilise. Elise se questionne sur sa condition de femme et sur sa capacité à donner la vie. Ils découvrent au fur et à mesure les étapes liées à ce processus, bouleversant ainsi leur intimité. Leur couple est mis à rude épreuve jusqu’à la lecture du résultat qui sera annoncé dans un courrier de l’hôpital.


Vous pouvez les aider en en parlant autour de vous, en partageant la page du crowdfunding et en participant au financement du film qui ouvre droit à une défiscalisation de 66% pour les particuliers et 60% pour les professionnels.

Vous trouverez tous les détails du projet et de la collecte ici 👉 https://www.proarti.fr/collect/project/precieuse-2/0


Vous pouvez également suivre les actualités de la préparation du film sur la page Facebook : https://www.facebook.com/Precieuselefilm


Enfin, voici le lien du site internet de la société de production Arts Films : https://www.arts-films.com

 

vendredi 2 juillet 2021

Nouvelle aide psychologique (PMA-Infertilité-don d’ovocytes) apportée par les Cigognes de l’Espoir

 Cette interview vidéo vous présente Margaux Nicaise, étudiante en psychologie qui a décidé d’apporter son aide et ses compétences en matière de soutien psychologique aux membres de l’association https://www.lescigognesdelespoir.com dans le cadre de l’infertilité, la PMA , le don d’ovocytes . 

 C’est un nouveau service proposé par l’association. 

 Dans cette vidéo, Margaux se présente, expose ses motivations à aider dans le cadre de l’association, les différents types d’aides concrètes et de soutien qu’elle peut apporter et rappelle les grandes problématiques psychologiques que soulève la PMA et l’infertilité. 

 Margaux propose des entretiens totalement gratuits aux membres de l’association https://www.lescigognesdespoir.com 

 Pour en savoir plus sur Margaux et comment la contacter https://www.lescigognesdelespoir.com/soutien-psychologique-gratuit-infertilit%C3%A9pma-avec-une-future-psychologue-%C3%A9tudiante-en-psychologie,124.html


jeudi 1 juillet 2021

Video gratuite : Webinaire : faire famille avec un don de gamètes, quelle histoire !!

 L’association « Les Cigognes de l’Espoir » https://www.lescigognesdelespoir.com vous propose cette conférence sur les questions pratiques et éthiques que se posent les parents et futurs parents d’enfants nés ou à naitre d’un don de gamètes.


 Pour chaque futur parent envisageant le recours à un don de sperme, d’ovocytes, un double don ou un don d’embryon, se posent de nombreuses questions. Parmi elles, des interrogations sur la filiation, les relations familiales, et l’attachement. 

 Estelle Métrot, psychopraticienne et analyste transgénérationnelle, spécialiste de l’accompagnement péri-conceptionnel, nous invite à explorer nos représentations de ce qu’est « faire famille », dans notre expérience personnelle comme dans l’histoire de notre famille et notamment en répondant à ces questions : 

 • Qu’est-ce qui fait de moi un parent ? une mère ? un père ?

 • Qu’est-ce qui fait de cet enfant mon enfant ?

 • Quelle place et représentation pour le-s don-s et donneur-s, pour l’origine génétique ? dans la construction identitaire de l’enfant et dans le récit familial ?

 • Qu’est-ce que cette conception par don raconte des valeurs de notre famille ?

 • Et si quelque chose de cette histoire transgénérationnelle se rejouait avec cet accueil d’un don ?

 Au cours de cette conférence, Estelle donne des repères sur les différentes dimensions de la filiation, la reconfiguration des organisations familiales et sur les échos transgénérationnels du don.

 Elle évoque les pratiques concrètes qui, au sein de la consultation d’accompagnement péri-conceptionnelle, participent à inscrire les conceptions avec dons de gamètes dans votre histoire de famille.

 A la fin de son intervention Estelle réponds aux questions du public. Nous vous rappelons qu’Estelle Metrot est thérapeute partenaire de l’association. 

Vous trouverez toutes les informations pour contacter Estelle sur le site www.lescigognesdelespoir.com , rubrique « médecines douces, nos partenaires » mais aussi sur le site internet http://www.1001fecondites.com/ 

 Estelle consulte à distance de toute la France en visio-conférence et accorde un 1er entretien de 30 minutes offert aux membres des Cigognes de l’Espoir

jeudi 24 juin 2021

Webinaire : les secrets d’un embryologiste avec la clinique de fertilité de Pardubice

 

Que ce soit dans le cadre d’une FIV ou d’un don d’ovocytes, une des personnes « clé » dans ces traitements de PMA et pourtant invisible car caché au fonds de son laboratoire est l’embryologiste.

C’est de son travail minutieux que dépend la fécondation, la culture et le choix d’embryons viables qui seront implantés dans l’utérus de la patiente.

Son rôle est fondamental et pourtant méconnu ! La clinique de Pardubice https://www.fiv-donsdovocytes.com/  a accepté dans ce webinaire programmé par l’association https://www.lescigognesdelespoir.com

le 29 juin 2021 à 18H30 ( le dernier avant les vacances)

de vous révéler les secrets de l’embryologiste de la clinique : la préparation des gamètes , la fécondation et ses différentes méthodes, la culture des embryons et la surveillance par système de time-lapse, le choix des embryons à implanter etc.

Participeront à ce webinaire animé par Philippe Roussel , le Vice-Président de l’association :

-Le Dr Radek Hampl , embryologiste

-Le Dr. Jiří Štěpán gynécologue, spécialiste de la PMA

-Radka Bandžuchová coordinatrice francophone

A l’issue de la présentation, nos invités répondront à toutes vos questions en direct !

Pour en savoir plus sur la clinique de Pardubice https://www.fiv-donsdovocytes.com/

 

Il y a 3 façons de participer à cet événement :

-Si vous souhaitez participer de façon active et poser des questions, il faut vous inscrire par avance en cliquant sur ce lien http://bit.ly/secretembryologiste . ATTENTION LE NOMBRE DE PLACES EST LIMITEE.

-Si vous souhaitez simplement suivre en live ce webinaire sans poser de questions ( ou si vous ne vous êtes pas inscrit assez rapidement sur le live interactif, vous pourrez suivre ce webinaire en direct sur notre page Facebook https://www.facebook.com/LesCigognesdelEspoir  ( a condition bien sûr d’être abonné à la page ) .

-Pour ceux qui ne sont pas disponibles le 17 juin à 19h , vous aurez la possibilité de voir le webinaire en replay sur notre page YOUTUBE https://www.youtube.com/channel/UCAJXXmNfNwXuyaFS2mzsl9Q  et sur FACEBOOK

 

Nous vous attendons nombreux le 29 juin à 18 H 30 pour ce dernier webinaire avant l’été

mercredi 16 juin 2021

Webinaire exclusif ! : Prise en charge par la sécurité sociale des traitements de PMA à l’étranger

 Les traitements de PMA à l’étranger peuvent être pris en charge partiellement par la sécurité sociale s’ils ne peuvent pas être réalisés dans un délai raisonnable dans notre pays.


Il s’agit principalement de la prise en charge du don d’ovocytes dont les délais d’attente peuvent atteindre 5 ans en raison du manque de donneuses et vont sans doute augmenter en raison de la crise sanitaire.

Dans le cadre des textes légaux européens, il est donc possible d’aller réaliser ce don d’ovocytes dans un autre pays de l’union européenne et d’obtenir une prise en charge partielle mais cette prise en charge est soumise à des conditions à la fois légales et de formalisme administratif.

Nous vous proposons dans ce webinaire de vous expliquer les conditions d’accès à cette prise en charge, les formalités a respecter pour que le dossier soit traité positivement par le CNSE ( Centre National des Soins à l’Etranger) .

A l’issue de cette présentation, nous répondons à toutes les questions relatives à ce sujet .

Ce webinaire est animé par Philippe Roussel, vice-président de l’Association « Les Cigognes de l’Espoir » et Charoey Raoul, la référente « Sécurité sociale » au sein de l’association qui est en contact direct avec les responsables du CNSE tout au long de l’année pour aider nos adhérents.


lundi 31 mai 2021

Webinaire : faire famille avec un don de gamètes, quelle histoire !!-17 juin 2021 à 19 H

 

Conférence interactive avec Estelle Metrot

L’association « Les Cigognes de l’Espoir » vous propose cette conférence sur les questions pratiques et éthiques que se posent les parents et futurs parents d’enfants nés ou à naitre d’un don de gamètes.

Pour chaque futur parent envisageant le recours à un don de sperme, d’ovocytes, un double don ou un don d’embryon, se posent de nombreuses questions pratiques et éthiques. Parmi elles, des interrogations sur la filiation, les relations familiales, et l’attachement comme

·       Vais-je aimer cet enfant comme pleinement mien ?

·       Me reconnaîtra-t-il comme son parent ?

·       Que lui dire de son histoire ? du don ?

·       Pourrons-nous recourir au même donneur pour un deuxième enfant ?

·       Ma famille va-t-elle accueillir mon enfant comme pleinement sien ? … 

Estelle Métrot, psychopraticienne et analyste transgénérationnelle, spécialiste de l’accompagnement péri-conceptionnel, nous invitera à explorer nos représentations de ce qu’est « faire famille », dans notre expérience personnelle comme dans l’histoire de notre famille. Nous nous demanderons :

·       Qu’est-ce qui fait de moi un parent ? une mère ? un père ?

·       Qu’est-ce qui fait de cet enfant mon enfant ?

·       Quelle place et représentation pour le-s don-s et donneur-s, pour l’origine génétique ? dans la construction identitaire de l’enfant et dans le récit familial?

·       Qu’est-ce que cette conception par don raconte des valeurs de notre famille ?

·       Et si quelque chose de cette histoire transgénérationnelle se rejouait avec cet accueil d’un don ?

Au cours de 30 minutes de conférence, Estelle donnera des repères sur les différentes dimensions de la filiation, la reconfiguration des organisations familiales et sur les échos transgénérationnels du don.

Elle évoquera les pratiques concrètes qui, au sein de la consultation d’accompagnement péri-conceptionnelle, participent à inscrire les conceptions avec dons de gamètes dans votre histoire de famille.

A la fin de la conférence, pour ceux qui ce sont inscrit sur Zoom, vous pourrez poser vos questions à Estelle .

Il y a 3 façons de participer à cet événement :

-Si vous souhaitez participer de façon active et poser des questions, il faut vous inscrire par avance en cliquant sur ce lien http://bit.ly/webinaireestellemetrot  . ATTENTION LE NOMBRE DE PLACES EST LIMITEE.

-Si vous souhaitez simplement suivre en live ce webinaire sans poser de questions ( ou si vous ne vous êtes pas inscrit assez rapidement sur le live interactif, vous pourrez suivre ce webinaire en direct sur notre page Facebook https://www.facebook.com/LesCigognesdelEspoir  ( a condition bien sur d’être abonné à la page ) .

-Pour ceux qui ne sont pas disponibles le 17 juin à 19h , vous aurez la possibilité de voir le webinaire en replay sur notre page YOUTUBE https://www.youtube.com/channel/UCAJXXmNfNwXuyaFS2mzsl9Q  et sur FACEBOOK

Pour en savoir plus sur Estelle Metrot, partenaire de notre association

https://www.lescigognesdelespoir.com/accompagnement-preconceptionnel-analyse-transgénérationnelle-paris,p,10.html

Interview d’Estelle Metro : accompagnement pré et post conceptionnel dans le cadre du désir d’enfant https://www.lescigognesdelespoir.com/interview-d_-estelle-phelippeau-metrot-accompagnement-pr%C3%A9-et-post-conceptionnel-dans-le-cadre-du-d%C3%A9sir-d_enfant,108.html

Son site internet http://www.1001fecondites.com/

Sa page Facebook https://www.facebook.com/estelle.phelippeaumetrot/

Nous vous attendons nombreux le 17 juin à 19 H




 

 

 

 

 

vendredi 21 mai 2021

«Na7kiw Fertilité» : une campagne d’informations sur l’infertilité en Tunisie

 L’ infertilité toucherait un couple sur quatre : 1/3 serait de source masculine, 1/3 féminine et 1/3 de sources mixtes ou inexpliquées c’est pourquoi il est très important d’en parler avec son médecin lorsque l’on arrive pas à concevoir.

Pour le Professeur Bechir Zouaoui, Président de la Société Tunisienne de Gynécologie Obstétrique (STGO) « En Tunisie, près de 15% des couples tunisiens souffrent de troubles de la fertilité. Peu d’entre eux en connaissent les raisons ou ne savent à quel moment et vers qui se tourner lorsqu’il s’agit de trouver des conseils et des solutions. D’ailleurs, une récente étude a montré que la moitié des couples se tournent d’abord vers des méthodes traditionnelles pour ensuite s’orienter vers un avis médical.  Chaque cas requiert une prise en charge personnalisée et plusieurs solutions existent. La Tunisie dispose de ressources qualifiées et d’infrastructures reconnues dans la région pour l’accompagnement des couples.

C’est dans ce but que la campagne d’informations «Na7kiw Fertilité» a été lancée en collaboration avec le laboratoire Merck, précurseur dans les traitements de l’infertilité, et plusieurs experts afin d’informer, sensibiliser et prévenir  le grand public sur cette « maladie » mais aussi sa prise en charge possible.
Cette campagne est diffusée par les médias mais aussi sur les réseaux sociaux et est rédigée en dialecte tunisien afin de toucher un maximum de personnes.
Elle permettra de donner beaucoup d’informations aux personnes qui ont des difficultés à concevoir un bébé.

Si vous souhaitez en savoir plus sur la campagne «Na7kiw Fertilité», vous pouvez cliquer sur les deux liens ci-dessous :

Le CHRACERH de Yaoundé au Cameroun combat l’ infertilité depuis 5 ans

 Depuis cinq ans, le  Centre hospitalier de recherche et d’application en chirurgie endoscopique et reproduction humaine, CHRACERH, de Yaoundé au Cameroun,  a permis à de nombreux couples de retrouver le sourire en réalisant leur rêve : avoir un bébé grâce à la procréation médicalement assistée (PMA).


Lors de son inauguration en mai 2016, Madame Chantal Biya, marraine du

CHRACERH et épouse du président de la République, déclarait :

«Il s’agit de redonner espoir aux couples stériles, leur ouvrir les portes de ce bonheur incomparable de poursuivre, comme avant eux leurs parents, la chaîne de la vie ».

Cinq ans plus tard, on peut affirmer que l’objectif est atteint : depuis la création du centre, plus de 200 bébés sont nés grâce à la fécondation in vitro (FIV)..

Grâce à ses très bons résultats, le CHRACERH a redonné espoir à de nombreux couples camerounais : celui d’avoir un enfant dans une société où l’infertilité est souvent un sujet tabou.

De plus, le CHRACERH accueille aussi des patients venus d’autres pays d’ Afrique qui souhaitent bénéficier d’ un traitement de  procréation médicalement assistée (PMA).

Si vous souhaitez en savoir plus et lire les témoignages de patientes suivies au

CHRACERH, veuillez cliquer sur le lien ci-dessous :

https://www.237online.com/cameroun-chracerh-cinq-ans-de-lutte-contre-linfertilite/

mercredi 19 mai 2021

Se faire accompagner par la digitopuncture dans le cadre d'une PMA. Quels bénéfices ?

 

Interview de Violaine Tewari, praticienne en psy-digitopuncture , partenaire de l'association "Les Cigognes de l'Espoir" https://www.lescigognesdelespoir.com , association d'aide aux personnes infertiles .

Dans cette interview , Violaine Tewari , explique tout d'abord pourquoi elle est devenue thérapeute spécialisée en infertilité et PMA ( elle a eu recours au don d'ovocytes pour avoir une petite fille ) mais surtout comment fonctionne la psy-digitopuncture , quels bienfaits , quels troubles peuvent être traités , son action sur les blocages émotionnels dans le cadre d'une PMA et plus globalement l'utilité de cette thérapie dans l'accompagnement des personnes touchées par infertilité féminine ou masculine .

Vous pouvez trouvez toutes les informations sur Violaine sur son site https://www.lescigognesdelespoir.com/sophrologue-nice,p,71.html

Les membres de l'association" Les Cigognes de l'Espoir" bénéficient de réductions sur les séances , à découvrir ici https://www.lescigognesdelespoir.com/nos-partenaires-medecines-douces-alternatives-et-coaching,18.html


lundi 3 mai 2021

Les fibromes concernent de plus en plus de femmes noires

 Les fibromes, tumeurs bénignes (non cancéreuses), situées dans la paroi de l' utérus, est une pathologie encore méconnue. Cette maladie touche 20 à 30 % des femmes blanches et 50 % des femmes noires.

Les scientifiques ne connaissent pas  l'origine de cette maladie mais certains d'entre eux pensent que des facteurs comme  : les prédispositions familiales, l'obésité, avoir moins de 12 ans lors des premières règles, l' infertilité et la nulliparité peuvent développer les fibromes.
Même  si les études sur les fibromes sont peu nombreuses, les spécialistes s'accordent sur une constatation  :  les femmes noires sont  deux fois plus  concernées par les fibromes que les femmes blanches.
Pour exemple :  une femme sur deux dans les DOM-TOM
 
Pour Angèle Mbarga, présidente de l’association Fibrome Info France, . « Si les RPC (Recommandations pour la pratique clinique précisent que les fibromes surviennent généralement autour de 40 ans, alors ils occultent tout un pan de la population. Dans les DOM-TOM, il y a une femme sur deux qui soufrent de fibromes. En France métropolitaine, c'est une femme sur quatre. » Depuis 5 ans, cette jeune femme de 45 ans se bat pour que les fibromes bénéficient d'une meilleure prise en charge en France.
 
Si vous souhaitez en savoir plus sur les fibromes et lire les témoignages de femmes souffrant de cette pathologie  et de leur difficulté pour avoir un enfant, cliquer sur le lien ci-dessous :

Un centre de prise en charge de l’infertilité sera bientôt mis en place au Burundi

 Le mercredi 14 avril 2021, une réunion fut organisée par la  fondation  ‘’Umugiraneza’’ en collaboration avec le ministère de la santé publique et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sur le thème  de l’infertilité et les approches de prise en charge.

La Première dame Angeline Ndayishimiye et Présidente de la fondation ‘’Umugiraneza’’  a annoncé lors de son intervention  le but de cet atelier :  sensibiliser et mobiliser les  autorités gouvernementales burundaises sur la problématique de l’ infertilité et les approches de sa prise en charge et d’insister sur la stigmatisation bien réelle  dont les femmes infertiles sont victimes dans la société burundaise.
Elle regrette la conduite  de certains hommes et de belles familles qui rendent la femme responsable de l’ infertilité du couple  alors que cette pathologie peut concerner l’ homme lui-même.
La Première dame Angeline Ndayishimiye  rappelle que les spécialistes de la santé attestent que l’infertilité affecte les hommes et les femmes de manière presque égale.

Le Représentant de l’OMS au Burundi, Xavier CRESPIN, a communiqué  que 186 millions de personnes et 48 millions de couples souffrent d’infécondité dans le monde, soit environ un couple sur quatre dans les pays en développement. L’Afrique est le continent le plus touché par l’infertilité, avec des difficultés de procréer affectant 15 à 30% des couples.
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Le Représentant de l’OMS au Burundi, Xavier CRESPIN  a fait savoir qu’un centre pour la prise en charge des couples infertiles sera mis en place dans les jours à venir à l’hôpital Roi Khaled avec 5 gynécologues et 5 laborantins formés à l’étranger.

La Première Dame Angeline Ndayishimiye a demandé à  la ministre en charge du genre et la ministre en charge de la justice à ce que des sanctions soient prises contre les violences perpétrées envers les personnes infertiles, surtout les femmes.

Si vous souhaitez en savoir plus, veuillez cliquer sur le lien  ci-dessous :

mercredi 28 avril 2021

Le Sénégal se lance dans la Procréation Médicale Assistée

 Lorsqu' un couple souhaite avoir un enfant de façon naturelle mais n' y arrive pas, il peut se tourner vers un traitement de  procréation médicalement assistée (PMA) a indiqué   Philippe Moreira,  chef du service de gynécologie obstétrique et de médecine de la reproduction de l’hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye (ouest), lors de la pose de la première  pierre de l' unité de PMA de cet  hôpital.


Cette technique de procréation médicalement assistée dite PMA permet à des couples infertiles d'avoir des enfants. mais elle est ‘’malheureusement une technique de pointe qui exige un coût financier onéreux’’,  selon Philippe Moreira.

Il ajoute que la  procréation médicalement assistée ‘’pose un problème d’accessibilité des soins pour tous les couples confrontés à un problème d’infertilité’’,

Philippe Moreira  précise qu' aucun service public dédié à la Procréation Médicalement Assistée n'existe au Sénégal.

Philippe Moreira, chef du service de gynécologie obstétrique et de médecine de la reproduction de l’hôpital Dalal Jamm de Guédiawaye (ouest), indique  que 15 %  de la population du Sénégal est concernée par  des problèmes d' infertilité.

Il souligne que  ‘’l'infertilité n’est pas très bien prise en charge, même si elle entraîne une souffrance silencieuse’’.

Philippe Moreira ajoute ‘’pour le moment’’, au Sénégal, la PMA s’exerce dans un ‘’cadre strictement privé’’. 
 
Le président du  Sénégal  a accordé une subvention de 1,5 milliard de francs CFA  à l’hôpital Dalal Jamm en vue de la construction du centre chargé d’accueillir l’unité de procréation médicalement assistée et l’unité de greffe osseuse.

La durée de la construction  de l' unité de procréation  médicalement  assistée est de douze mois


Si vous souhaitez en savoir plus sur la procréation médicale assistée au Sénégal, vous pouvez cliquer sur le lien ci-dessous :